une petite idée de ce que je vais vous faire découvrir

Je marche d'un pas rapide ce soir de juin. Il est 23 heures, la chaleur lourde rend ma peau moite, l'orage se rapproche de plus en plus, le tonnerre gronde, les premières gouttes commencent à tomber, J'apperçois la cabine téléphonique que le maire à tenu à conserver de l'autre côté de la rue, je traverse en courant et y pénètre alors que l'orage éclate.
La porte s'est à peine refermée, qu'elle s'ouvre aussitôt laissant entrer deux hommes.
- Désolés madame, me dit l'un deux, nous serons à l'étroit mais il pleut tellement dehors....
- Ne vous inquiétez pas on se serrera, ce n'est pas grave.
je regardai la pluie tomber ignorant les deux intrus au point d'oublier leur présence lorsque je sentis un contact étroit contre mes fesses. L'un deux se collait carrément contre moi au point que je sentis son érection.
- Ne vous génez pas murmurais je en me retournant. 
- Cette chaleur associée à notre proximité et à votre beautée m'a excité, je bande au point que cela me fait mal.
Je ressentis ma chatte s'enflammer brusquement, laissant échapper un liquide brulant qui coula le long de mes cuisses. Je re relevais rapidement ma jupe découvrant ma chatte car je ne portait rien en dessous. Je m'entendis murmurer :
- Viens mon salaud,  entre en moi , baise moi 
L'inconnu ne se le fit pas dire deux fois, il sortit une bite de taille moyenne qu'il fourra aussitôt en moi. Excité comme il était, il jouit presque aussitôt, me laissant sur ma faim, et partit sans un mot alors que la pluie venait de cesser.
- Quel goujat.
- Absolument incroyable renchérit le second resté dans la cabine
- je n'ai pas eu le temps d'avoir un orgasme viens me terminer.
- Oh putain qu'elle est grosse.
L'homme venait de sortir une bite énorme encore plus grosse que celle de mon mari qui est pourtant d'une bonne dimension. Il commença à me bourrer, je sentais son membre aller et venir dans mon intérieur heureursement déjè bien lubrifié par le sperme du prédécesseur. Je mouillais comme une salope inondant cette grosse queue qui me labourait. Un flot de liquide chaud, abondant inonda mon vagin. je jouis en même temps que lui. L'homme se retira, un liquide gluant s'échappa de ma chatte, coula le long de mes cuisses.